Et Tandis que dans déchiré les pages hors
des yeux, la lumiére incertaine du manque
de mémoire afin de savoir á nous vivants et
illuminer á nous, sans acranges, parfois si, je
reste observant cette solitude élevée qui
nous donne au ciel, cela a laissé ëtre, aprés des cristaux...
Voir comme ils volent des semtiments...
sans savoir, si le coeur ouvrira ses ailes vers quelles latitudes,
vers lesquelles tu clótures,
ils développeront leur esprit sur l'aprést-midi.
des yeux, la lumiére incertaine du manque
de mémoire afin de savoir á nous vivants et
illuminer á nous, sans acranges, parfois si, je
reste observant cette solitude élevée qui
nous donne au ciel, cela a laissé ëtre, aprés des cristaux...
Voir comme ils volent des semtiments...
sans savoir, si le coeur ouvrira ses ailes vers quelles latitudes,
vers lesquelles tu clótures,
ils développeront leur esprit sur l'aprést-midi.
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un poème joli, il(elle) me plaît comme il(elle) écrit.
ResponderEliminares precioso tu poema , una mezcla de tristeza y nostalgia, me tomo la libertad de traducirlo, no sé si lo haré exacto, pero me manejo en francés y está precioso.
ResponderEliminarTrás los cristales.
"Y mientras en los ojos deshojados,
la luz incierta del olvido
para sabernos vivos y alumbrarnos
sin anclajes.
a veces si, me quedo mirando
esa alta soledad que nos da el cielo
ese dejar de ser, tras los cristales.
Viendo como vuelan sentimientos
sin saber, si el corazón abrirá sus alas
hacia qué latitudes, hacia qué valles
expandirán su espíritu sobre la tarde."
ese es en español tu poema , bella poeta.Un abrazo.
Marcos.